• “Paix sur la terre parmi les hommes qu’il agrée” (Luc 2 :14, version Second 1979).

    En décembre 1914, des soldats allemands, anglais et français sont sortis des tranchées et ont fraternisé. Comment une telle chose a-t-elle pu être possible compte tenu de la haine qui animait chacun des deux camps ? Le miracle eut lieu parce que les chants traditionnels de Noël ont commencé à être joués par un camp et furent ensuite repris par tous.
    Pourquoi l’esprit de Noël ne s’est pas prolongé au-delà de ce jour ? Que de morts inutiles auraient pu être évités ! 

    Chaque année, le 25 décembre, un grand nombre d’hommes fêtent Noël, or, beaucoup d’entre eux oublient le premier message qui fut proclamé par les anges, le jour où le Messie vint au monde : “Paix sur la terre”. Nous pouvons rêver d’une paix universelle, nous pouvons la désirer, tout comme Dieu la voudrait voir régner partout, mais la paix ne peut exister que parmi une seule catégorie d’hommes : ceux que Dieu agrée. Mais qui sont-ils ?

    Sont-ils des êtres super-spirituels, désincarnés ? Des êtres n’appartenant qu’à une seule dénomination religieuse ? Non, ni l’un, ni l’autre ! Dieu définit lui-même, quels sont ceux qu’il agrée : “Dieu ne fait point de favoritisme, mais en toute nation, celui qui le craint et qui pratique la justice, lui est agréable.” (Actes 10 :34/35)
    Voilà qui est dit : ceux que Dieu agrée, sont ceux qui le respectent (c’est le sens du mot craignent), et qui pratiquent la justice. C’est l’apôtre Pierre qui prononce cette phrase en s’adressant à un centenier Romain nommé Corneille, homme craignant Dieu et pratiquant le bien (Actes 10 :1/2). Après avoir dit cela, Pierre ajoute : “Dieu a envoyé la parole aux fils d’Israël, en leur annonçant la paix par Jésus-Christ qui est le Seigneur de tous.” (Actes 10 :36) A ceux qui le craignent et pratiquent la justice, Dieu leur annonce la paix, et il la leur offre au travers de celui qui est habilité pour la donner : Jésus-Christ, le Seigneur de tous les hommes.

    Les messages de paix, surtout à la Noël, sont nombreux. Mais quelle place a le Seigneur Jésus-Christ dans nos vies ? Le seul qui peut apporter la paix dans un foyer en crise, dans le cœur de ceux qui viennent de passer par un deuil, dans une assemblée de croyants où des tensions mettent à mal la communion fraternelle, enfin dans n’importe quelle situation, c’est Jésus. Quelle place allez-vous lui faire en ce jour, et tous les autres jours de votre vie ?

    Mon engagement en ce jour :

    Seigneur, toi qui es venu dans le monde pour offrir la paix, je prends la décision de t’offrir la première place dès ce jour et tous les jours de ma vie. Amen !

    Paul Calzada


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  • NOËL EN ÉDEN

     

    « Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité ;

    celle-ci t’écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon. »

    Genèse 3.15

     

             Ainsi parlait l’Éternel Dieu au serpent.

             C’était en Éden, non loin de l’arbre de la chute. Là, se profilait déjà l’ombre de la crèche. L’ombre de la croix aussi.

             L’enfant de Bethléhem viendrait rendre le paradis perdu aux « « Adam » maudits que nous sommes. C’était écrit depuis l’éternité, en lettres de sang, dans le cœur de Dieu. « En Jésus, Dieu nous a élus, avant la fondation du monde » (Éphésiens 1.4). Ô merveilleuse grâce divine ! tu nous étais déjà donnée dans le Rédempteur « avant les temps éternels » (2 Timothée 1.9). Un instant, Satan remporta la victoire. Mais le Christ serait couronné d’un triomphe éternel. Le séducteur inocula le mensonge, la convoitise, la désobéissance, puis la peur, la souffrance, la malédiction, la peine, et enfin la mort. Le Christ, véritable tabernacle céleste, resplendirait des gloires de la vérité ; celle qui affranchit, libère, bénit et fait vivre éternellement.

             Oui, Noël brillait. Mais loin, si loin du jardin souillé que seul le regard de Dieu pouvait contempler la revanche de la rédemption. N’était-elle pas présente dans le dessein de l’éternel « Je suis » ? Et c’est ainsi que « lorsque les temps ont été accomplis, Dieu a envoyé son Fils, né d’une femme, né sous la loi...afin que nous recevions l’adoption » (Galates 4.4). Dieu avait gagné avant même que le diable n’engage les hostilités. Déjà le ciel cachait les trésors de la restauration avant le chaos, de la purification avant la souillure, de la réconciliation avant la rupture. Il offrirait tous ses trésors par l’enfant divin d’une humble nazaréenne.

             Mais une ombre effrayante éteindrait les lumières de Noël. Les bergers s’en retourneraient aux champs, les anges au ciel, les Mages vers leur lointain Orient, le foyer de Joseph à Nazareth, et le Messie marcherait sans broncher vers le but suprême de sa venue : la croix. C’est là que le serpent blesserait le talon de l’homme de douleur. C’est là aussi que l’Agneau triompherait du lion rugissant. Jésus y mourrait pour vous, pour moi, expiant nos péchés. Les ténèbres s’empareraient du Golgotha, tandis que les blasphèmes et les injures balaieraient les louanges. C’est à ce prix fort que la tête du serpent ancien serait divinement écrasée. La voix d’Éden avait dit vrai. Martyn Lloyd-Jones disait de la croix de Christ : « Ce fut l’heure la plus importante depuis le commencement du monde. La croix est effectivement le pivot historique qui décide de toutes choses. Il s’agit de l’événement le plus grand et de l’apogée de tout ce qui s’est produit dans le monde des hommes. Tout conduit vers cette heure et tout en découle. C’est l’heure vers laquelle l’ensemble de la prophétie porte les regards. C’est l’événement vers lequel regarde toute l’Église, tant pour son histoire que pour sa doctrine. C’est le point central et essentiel qui détermine et contrôle toutes choses ».

             Misérable paganisme, funeste usurpateur, tout enguirlandé d’incrédulité, d’indifférence et de mille excès,  qui sacrifie sur l’autel d’un Père Noël imaginaire l’âme immortelle de nos enfants ! Non, tu ne saliras pas le Noël promis en Éden, tu ne me déroberas pas mon Bien-aimé Jésus !

             Au monde ses sapins et ses illuminations éphémères ! A nous, chrétiens, la splendeur de l’Évangile ! Tandis qu’un vent de mondanité s’engouffre dans une chrétienté agonisante, serviteurs de Christ, hérauts de la Bonne Nouvelle, je vous en supplie, rendez-nous Noël, rendez-nous la croix de notre cher Sauveur !

     

             A vous toutes et à vous tous, je souhaite un très joyeux Noël ! Le vrai !

     

    Paul BALLIERE 

    http://www.batissezvotrevie.fr

     


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  • Epitre de Paul aux Philippiens chapitre 4 verset 6

    Ne soyez inquiets de rien, mais, en toute occasion, par la prière et la supplication accompagnées d'action de grâce, faites connaître vos demandes à Dieu.

    --

    Qui prier ?

    Nous avons la réponse dans ce texte : Dieu le Père !

    C’est celui à qui nous adressons notre prière

    La supplication étant une prière plus instante, plus insistante.

    Prière et supplication devraient toujours être enveloppées d'action de grâce, autrement dit de reconnaissance.

     

    En quel nom prier ?

    Jésus nous a donné la réponse : il faut demander au Père en son nom.

    Remarquons qu’il dit : « vous recevrez ! », il n’y a pas de peut-être !

    Jean 16:24  Jusqu'à présent vous n'avez rien demandé en mon nom.

    Demandez, et vous recevrez, afin que votre joie soit parfaite.

     

    Pourquoi demander dans le nom de Jésus ?

    Parce que nous ne méritons pas d’être exaucés, mais Jésus-Christ est le seul qui l’a mérité pour nous !

    Toutefois, demander en son nom, implique de mettre en lui notre foi.

    Il ne s'agit pas de croire seulement en un Christ historique... il est indispensable de croire en ce qu'Il est, en sa divinité, en ce qu'Il a accompli pour nous sur la Croix, en son enseignement et ses promesses !

     


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